Si les classes intellectuelles supérieures en ont un usage plutôt sophistiqué, associé au self-branding, le web des classes défavorisées ne constitue pas un espace contributif ou participatif.
L’auteur observe parmi les familles modestes un usage strictement fonctionnel de l’email, exclusivement réservé aux achats en ligne, dont la pratique est dominante dans cette catégorie sociale. Si vous voulez en savoir plus, on vous le conseille : « L’Internet des familles modestes », paru ce jeudi !