Le marketing du cool

Jusqu’où ira la big-fernandisation des esprits ? Ce phénomène est pointé cette semaine sur Slate : la propension des marques à s’adresser à leurs clients comme si ils étaient leurs amis. Parfois, en voulant se la jouer « cool », en adoptant un ton « décalé » et « irrévérencieux », les marques loupent leur cible. Certains se disent même agacés de cette manie.

Après tout, on ne peut le nier, ça a été le mot d’ordre ces dernières années de jouer les marques conniventes et « fun ». Peut-être qu’il ne s’agit que d’une mode, qui laissera place à tout l’inverse plus tard : s’adresser aux clients de manière glaciale…