Vous avez probablement entendu parler de Animal Crossing, ce jeu sur Switch qui met en émoi petits et grands. Il s’agit d’une simulation de vie, à la Sims, mais avec des petits animaux mignons. Vous débarquez sur une île déserte, et vous passez vos journées à pêcher, aller au marché, aménager votre intérieur avec de la déco sympa, taper la discute avec ses voisins, visiter les îles virtuelles des copains… bref, la vie quoi !
Un jeu bien plus addictif qu’il n’en a l’air. Surtout si vous vous mettez au business des navets, que vous pouvez acheter uniquement le dimanche, mais dont le cours change tous les jours à midi. Comme à la bourse, oui, oui. Avec son lot de spéculation, d’embellie ou de krach. “On ne plaisante pas avec le commerce des navets” titre le journal Le Monde.
Ce jeu, en apparence innocent et enfantin, est en passe de devenir un véritable phénomène de société. Au point d’être détourné par des opposants politiques, comme à Hong Kong, où les habitants ont planté sur leur île des panneaux avec les principaux slogans de révolte contre le régime chinois.
Un monde pas si parallèle…